Notre petite lueur de vie aura quand même été la présence d’Issa, qui se sera découvert, sous nos yeux ébahis, un véritable talent pour la modélisation 3D. Peut-être avons-nous sous la main un futur animateur ? Quoi qu’il en soit, Issa si tu lis cet article, félicitations à toi pour ton travail fourni, et on espère que tu nous gratifieras de ta présence très prochainement !
Mais bon, la situation, bien que décevante, n’était pas si désespérée que ça. La jeunesse parisienne a fini par montrer le bout de son nez, et on est bien content, parce qu’ils avaient l’air super emballés d’être là !
Souquez les artémuses !
Ah, le chocolat, ce caprice des dieux. Et capricieux il est. Pas que lui d’ailleurs. Jeudi, enfin, le bateau commence à prendre forme…non sans mal. Parce que oui, le chocolat, c’est fragile, et on s’est quand même donné un peu de mal à le travailler, ce serait dommage de gâcher tout ça. Mais à l’inverse du chocolat, nous n’avons pas bénéficié des conseils avisés d’un pâtissier pour la pâte sablée. Tantôt trop sablée, tantôt pas assez, la farine coule à flot et le frigo est plein à craquer, vindiou mais dans quoi nous sommes-nous embarqués ? Lors du moment fatidique de la cuisson, nous saute aux yeux un autre problème : la pâte brûle sur le dessous, elle gonfle trop, elle se déforme, se casse trop facilement… Mais Cécile, notre sauveuse, avait acheté de la pâte de sucre pour réparer les dégâts,